La nuit des monstres rigolos à Marseille

Il était une fois, dans la belle ville de Marseille, quatre amis très spéciaux: Alana, Caly, Sohan et Jade. Chacun d'entre eux avait un pouvoir incroyable, mais un peu loufoque. Alana pouvait lancer du feu avec ses fesses ! Oui, oui, vous avez bien entendu. D'un simple pet bien placé, elle pouvait embraser tout ce qui se trouvait sur son passage. Caly, quant à elle, pouvait crier si fort que la terre tremblait. Ses amis avaient l'habitude de lui demander de se taire lorsqu'elle était en colère, pour éviter les séismes. Sohan, lui, avait un pouvoir un peu plus étrange : quand il bavait, des rivières se formaient autour de lui. Enfin, Jade crachait un venin empoisonné, ce qui faisait d'elle une redoutable adversaire. Un soir d'été, les quatre amis se promenaient le long du Vieux-Port, quand soudain, une étrange créature surgit des eaux sombres. C'était un monstre géant, à la tête de serpent et aux tentacules gluantes. Les habitants de Marseille étaient terrifiés, mais nos héros n'avaient pas peur. Ils savaient que c'était leur moment de briller. Alors, Alana se concentra et lança une boule de feu en direction du monstre. Caly se mit à crier si fort que les vitres des bâtiments se mirent à vibrer. Sohan se mit à baver abondamment, créant une véritable inondation autour du monstre. Enfin, Jade cracha son venin empoisonné, faisant reculer la bête. Le monstre, effrayé par tant de pouvoirs surnaturels, prit la fuite et retourna se cacher dans les profondeurs de la mer. Les habitants de Marseille applaudirent les quatre amis, reconnaissants pour les avoir sauvés. Et c'est ainsi que la nuit des monstres rigolos à Marseille se termina dans la joie et la bonne humeur. Les habitants de la ville s'endormirent en paix, sachant que leurs protecteurs aux pouvoirs étranges veillaient sur eux. Et c'est ainsi que se termine notre histoire, où l'horreur et l'humour se sont mêlés pour le plus grand plaisir de tous. Bonne nuit les enfants, et n'ayez pas peur des monstres, car parfois, ce sont eux qui ont le plus peur de nous.